Aujourd’hui est visuel
Aucun doute, les outils de collaboration et de gestion de projet deviennent de plus en plus visuels et ludiques … tant mieux !
Pour citer quelques exemples :
- Trello permet la gestion des activités d’équipe en utilisant une organisation spatiale simple, efficace, très visuelle. De la colonne dans laquelle se trouve une tâche il est aisé d’en déduire son statut. Changer de statut ne sait fait plus à l’aide d’un formulaire compliqué, on se contente de déplacer les objets. Ces objets qui symbolisent une tâche prennent d’ailleurs une fome de plus en plus ludique et imite savamment le format d’une carte de jeu.
- Mural va plutôt permettre de remplacer le tableau blanc par un équivalent numérique particulièrement efficace. Ici, aussi, on retrouve un objet du monde réel très bien imité, le post-it. Il est également amusant de redecouvrir dans l’interface des outils les plus modernes: l’écriture manuelle.
- Monday va quant à lui offir une vision d’ensemble et synthétiser l’information à l’aide de graphiques avancés organisés dans un tableau de pilotage pragmatique. Ici, ce sont les couleurs plus criardes, ludiques à nouveau, mais bien plus enfantines qui vont interpeller.
Si l’on résume les caractéristiques observées, nous pouvons retenir les tendances suivantes dans la construction des interfaces utilisateurs :
- Simples
- Ludiques
- Colorés
- Graphiques
Le choix de garder un lien avec le monde physique est souvent privilégié :
- format des cartes de voeux,
- post-it,
- écriture manuelle,
- photo des participants
Ceci confirme ce dont nous parlons souvent sur ce blog, l’importance des éléments tels que graphiques, images, photos pour rendre plus concret les objectifs de l’entreprise, l’avancement des projets ou le suivi des actions.
Bien entendu, l’usage des médias ne fait plus aucun doute dans la communication et la publicité (comme ce fut d’ailleurs toujours le cas). On peut s’en rendre compte déjà du temps des égyptiens :
Le visuel est encore léger dans les activités en entreprise mais le progrès est inéluctable.
Retour sur investissement de la visualisation analytique
Améliorer la prise de décision grace à la visualisation, ce n’est pas qu’une question … d’image… en effet les études entreprises par Nucleus Research par exemple l’illustre, chaque Euro investit dans les outils analytics permettrait d’en rapporter 13 à l’entreprise. Nucleus Research Study.
Si le retour sur investissemnet réel restera toujours complexe à généraliser, il est aujoud’hui évident que notre capacité à traiter une information visuelle plus rapidement mérite d’être exploitée, en effet quelques millisecondes nous suffisent à identifier un sujet dans un succession d’image – https://news.mit.edu/2014/in-the-blink-of-an-eye-0116.
Pour nous, à l’aide de notre solution [Perspectives.pm] le fait de mettre en évidence graphiquement les relations entre les données clé de votre activité permet d’appréhender de manière concrète le lien entre les différentes initiatives de l’entreprise.
Ainsi, par exemple, il est certainement avantageux d’utiliser un logiciel qui va permettre d’illustrer schématiquement le lien, d’une part, entre objectifs et projets, et, d’autre part, entre projets et actions.
Ceci, nous le faisons aujourd’hui, nous continuerons demain.
Qu’est-ce que la VR encore ?
La Virtual Reality décrit cette capacité à immerger l’utilisateur dans un monde calculé par ordinateur. Elle va permettre de dépasser les limites d’un écran et d’offrir un panorama, interaction, suivi de la position de l’utilisateur.
En progrès
Citons ici la loi d’Amara : la loi d’Amara : « Nous avons tendance à surestimer l’incidence d’une nouvelle technologie à court terme et à la sous-estimer à long terme » (Roy Amara).
Le même principe est utilisé par Gartner (Gartner Hype Cycle) pour identifier les phases de maturité relatives à chaque technologie.
Il est probable que nous puissions catégoriser la VR comme un phénomène qui répond à cette loi. Si jusqu’ici le buzz a été créé, les espoirs ont été exagérés et les désillusions furent grandes. L’impact de cette technologie ne doit pas être sous-estimé pour le futur.

Loi d’Amara Roy pour la VR
La réalité virtuelle est en progrès constant, les casques sont de plus en plus légers, plus autonomes et offrent des résolutions de plus en plus élevés, les prix sont également en baisse.
Certaines fonctions permettent d’aller plus loin comme le passtrough par exemple. Celui-ci permet grace à des caméras sur le casque même d’autoriser l’intégration du contenu réel avec le monde virtuel.
Ainsi, il devient par exemple possible de voir son clavier et ses doigts et donc d’interagir avec un monde virtuel en utilisant
Notre pari VR
Si les accessoires utilisés en VR doivent encore évoluer, il nous semble évident qu’innover en combinant collaboration et réalité virtuelle constitue le futur de [perspectives.pm].